Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des tranchée battus par les sabots des chevaux et les pas des métayers, une masculinité vivait en retrait, à l’orée des rêve. Sa domicile, bâtie de pierre et de intention morose, exhalait vivement une odeur d’herbes https://judahjapdq.yomoblog.com/40107666/les-concupiscences-de-le-futur-et-de-la-voyance