La nuit tombait délicatement sur la ville, enveloppant les immeubles d’un étoffe maussade ponctué par la lueur vacillante des réverbères. Dans une petite brique encombrée de livres anciens et de cartes marquées d'éléments impénétrables, Mathilde tenait entre ses soi un vieux téléphone à cadran. Le combiné, d’un sombre sérieux, reposait https://aliceerdoy.blogpayz.com/33699595/les-murmures-de-l-ombre-de-la-gratuite-via-le-téléphone-avec-jade-médium