La jungle semblait encore avoir avalé le palais, l’enveloppant dans un subterfuge de lianes et de venues tordues. Entre les troncs d’arbres extraordinaires, des colonnes effondrées surgissaient çà et là, vestiges d’une architecture oubliée. Les dalles de pierre, autrefois modeler avec quête, étaient à présent craquelées par l’humidité et recouvertes https://angelozfgqo.ziblogs.com/33892297/le-dernier-trait