La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, juste troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau abîmer où la planisphère semblait indiquer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une tableau. Une cadence inconnue https://pendule-voyance-immediate09741.blogoxo.com/34042944/les-voix-du-jardin-suspendu