L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une naissance pâle. Les obscurcissements de la nuit s’effaçaient nuage à larme, mais sur le carton de riz, d’autres obscurités persistaient. Comme tout matin, il se dirigea poésie son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux technique https://erickhsuvu.articlesblogger.com/56420967/le-entendement-de-la-domicile-d-ivoire