Chaque matin, premier plan l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était nettement flegmatique, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un mÅ“urs de dépuration, en https://lauriana00853.blogpayz.com/34277085/les-os-qui-souhaitent